Onafriq s'associe à Ripple pour les paiements transfrontaliers basés sur les crypto-monnaies
Ripple, leader des solutions blockchain et crypto d'entreprise, s'est associé à Onafriq (anciennement MFS Africa), une fintech de paiement de premier plan, pour faciliter les paiements transfrontaliers basés sur les actifs numériques entre l'Afrique et de nouveaux marchés, notamment le Conseil de coopération du Golfe (CCG), le Royaume-Uni et l'Australie.
Onafriq s'appuie sur Ripple Payments, la technologie de paiement cryptographique de Ripple, pour établir trois nouveaux couloirs de paiement reliant l'Afrique au reste du monde. Les clients de PayAngel au Royaume-Uni, de Pyypl dans le CCG et de Zazi Transfer en Australie peuvent désormais effectuer des transferts de fonds et des paiements commerciaux rapides et rentables à des destinataires dans 27 pays à travers le réseau panafricain d'Onafriq.
En utilisant la technologie cryptographique de Ripple, Onafriq vise à surmonter les défis traditionnels associés aux paiements transfrontaliers, tels que les longs délais de transfert, le manque de fiabilité et les coûts élevés. Le partenariat vise à apporter des transferts d'argent internationaux plus rapides, plus efficaces et plus rentables en Afrique, accélérant ainsi l'inclusion financière sur le continent. Cette collaboration met en évidence le potentiel des solutions blockchain et crypto pour relever les défis de longue date dans les paiements transfrontaliers, bénéficiant finalement aux individus et aux entreprises à travers diverses régions.
Points clés à retenir
Au cours des dix dernières années, les envois de fonds vers l'Afrique ont doublé, atteignant 100 milliards de dollars en 2022, soit un montant supérieur à celui de l'aide et des investissements étrangers. Dans certains pays africains, ils représentent jusqu'à 20 % du PIB. Mais en dépit de leur rôle clé, les envois de fonds sont soumis à des frais de transfert élevés, qui peuvent parfois atteindre jusqu'à 20 % du montant transféré. Conscient des difficultés liées à la méthode traditionnelle de transfert d'argent, le partenariat propose d'utiliser la blockchain pour faciliter les envois de fonds vers l'Afrique. Plus précisément, il exploite les stablecoins, qui sont des crypto-monnaies liées à des monnaies fiduciaires comme le dollar, pour transférer de l'argent à l'échelle internationale à une fraction des coûts de l'ancienne méthode.
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