Paystack licencie des employés en Europe et à Dubaï dans le cadre d'une réduction des effectifs
La société de paiement africaine Paystack a entrepris une initiative de restructuration qui implique la réduction de ses opérations en dehors de l'Afrique, ce qui se traduit par une réduction de ses effectifs en Europe et à Dubaï. La société a rationalisé ses opérations, en particulier sur les marchés où elle avait précédemment recruté des techniciens pour soutenir ses opérations principales en Afrique.
Dans le cadre de cet effort, Paystack a réduit ses effectifs de 33 employés, selon un tweet du cofondateur et PDG Shola Akinlade. Après son acquisition par la fintech américaine Stripe, Paystack a étendu sa présence géographique en établissant des bureaux à Accra, au Cap, à Dubaï et à Nairobi.
Cette expansion a également impliqué le recrutement de personnel en Europe par le biais d'opérations à distance et la mise en place d'un centre d'ingénierie à Dubaï. Avant ces développements, Paystack avait déjà des bureaux à Lagos et à San Francisco.
Key Takeaways
Paystack opère actuellement sur quatre marchés : Nigeria, Ghana, Kenya et Afrique du Sud. Connue pour ses opérations rationalisées, l'entreprise a connu une expansion modérée de son personnel, ce qui a conduit à plusieurs lancements de produits au cours des trois dernières années. Parmi les développements notables, citons l'introduction d'une application Shopify, le lancement d'un terminal et l'ajout récent d'une fonction de débit direct. Paystack a également établi des intégrations avec des logiciels et des solutions de paiement internationaux, y compris des collaborations notables avec ApplePay. Dans le cadre de ses efforts d'expansion stratégique, Paystack fait actuellement l'objet de tests bêta privés en Côte d'Ivoire, en Égypte et au Rwanda. Cela témoigne de l'engagement de l'entreprise à étendre ses services à de nouveaux marchés et à consolider sa position dans le paysage africain de la fintech.
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